Début des années 90, Arnaud a attrapé le virus du graffiti le long des voies ferrées belges.
En éternel insatisfait, il a rapidement essayé d’autres supports, d’autres matières, toujours en laissant parler ses tripes et sa spontanéité plutôt que ses neurones.
Après quelques expositions réussies en Belgique (Bruxelles, Gand, Anvers), cet artiste qui offre une véritable seconde vie à l’art urbain avec ses oeuvres hybrides où rien n’est lisse vient à votre rencontre.
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